La ligne d’horizon: garder la motivation quand on entreprend
Certains objectifs sont comme la ligne d’horizon : plus on s’en rapproche, plus ils reculent.
Chaque semaine quelques minutes de lecture pour prendre du recul sur une facette de son job de dirigeant, s’inspirer, réfléchir et trouver de nouvelles clés pour faire avancer sa PME, sa startup ou son projet.
Certains objectifs sont comme la ligne d’horizon : plus on s’en rapproche, plus ils reculent.
Comment apprend-on ? Qu’est ce qu’on apprend par l’expérience, ou en demandant aux autres comment faire ? Et d’ailleurs, comment on sait ce qu’on sait, et ce qu’il nous reste à apprendre ?
Il y a 15 jours, j’ai publié ma première vidéo sur YouTube et elle a fait un bide. Mais j’en ai tiré une leçon sur la proposition de valeur.
La valeur du travail augmente-t-elle grâce au distanciel ? Ou perd-t-on en efficacité en travaillant chacun chez soi ?
Exigeant mais pas autoritaire: ne pas confondre les deux pour mieux manager ses équipes, et avoir une autorité efficace.
Préparer son année, c’est important. Mais lorsqu’elle est entièrement planifiée, où sont les espaces d’innovation, de surprise, d’agilité ?
Pour démarrer cette nouvelle année, je voudrais vous proposer une idée : l’incertitude et la possibilité sont deux aspects d’une même chose.
Mon bilan 2022 n’est pas glorieux: je n’ai pas atteint la moitié de mes objectifs, à cause de trois erreurs que j’ai fait en les fixant.
Être responsable cela veut dire être attentif aux mots que l’on choisit, et particulièrement quand on est en situation d’autorité.
Nous jouons à un jeu génial : l’entrepreneuriat c’est une partie où chacun peut jouer selon ses règles et où tout le monde peut gagner.
On a intérêt à ce que notre business ne soit pas trop pénible, et que sa pénibilité en vaille la peine.
Bien manager notre équipe, c’est faire le pont entre les besoins de l’entreprise (c’est-à-dire les résultats à obtenir) et les conditions à créer pour que notre équipe soit en mesure de les obtenir.
En management, il est important de bien utiliser les outils mis à notre disposition, et de ne pas les confondre avec leur fonction.
L’impératif climatique s’impose à nous. Mais nous sommes avant tout dirigeants d’entreprises. Alors comment concilier climat et business ?
Les compétences techniques ne suffisent plus. Les soft skills de l’entreprise sont l’avantage décisif pour améliorer la productivité.
Être dirigeant, c’est assumer les conséquences de ses décisions, et de ses indécisions, peu importe les conséquences.
Les intelligences artificielles en management: pourraient-elles remplacer des salariés ? Peut-être bien… mais à quel prix ?
L’idée de donner du sens au travail nous a mené à une crise identitaire générale. Parce que, dans le fond, le contrat de travail c’est d’abord une transaction : j’apporte ma capacité de travail à un employeur, en échange de quoi celui-ci me donne un salaire.
«Franchement, en ce moment, tu ne crois pas qu’on a des trucs plus importants à faire ?»
Sous une forme ou une autre, j’ai entendu cette phrase au moins 3 fois au cours des deux dernières semaines.
Pourtant je crois que ça serait une erreur de tout sacrifier à la situation immédiate.
En temps de crise, la seule solution pour éviter l’impréparation de l’après-crise, c’est de garder sa stratégie d’entreprise, malgré l’urgence.
Chaque crise met à l’épreuve notre organisation et notre management. La surmonter peut nous permettre d’apprendre et d’améliorer l’entreprise… jusqu’à la prochaine crise. Qui sera nécessairement plus forte, d’ailleurs, car sinon on ne l’aura même pas perçue comme une crise.
J’ai voulu faire le bilan carbone de mes vacances et en compenser les émissions de CO2.
Le calcul n’était pas simple mais la compensation ça a été une aventure rocambolesque. Je vous raconte : les aventures de Oui-oui au pays de la compensation carbone.