Quel entrepreneur es-tu : surfeur ou noyé ?
Tu as levé une vague… mais est-ce que tu la surfs ou est-ce qu’elle t’engloutit ? J’ai longtemps été ce dirigeant noyé dans sa propre boîte. Voici ce que j’ai appris pour en sortir.
Tu as levé une vague… mais est-ce que tu la surfs ou est-ce qu’elle t’engloutit ? J’ai longtemps été ce dirigeant noyé dans sa propre boîte. Voici ce que j’ai appris pour en sortir.
On te dit partout de commencer par le « Pourquoi »… et si c’était une erreur ? Pour embarquer une équipe, il y a un autre “Pourquoi” bien plus puissant. Je t’explique pourquoi (justement).
Tu n’as pas monté ta boîte pour finir épuisé·e. Pourtant, tu cours partout, et tu sens que ton entreprise tient surtout grâce à toi. Et si tu pouvais changer ça avant de craquer ? Dans cet article, je te parle des 4 blocages invisibles qui freinent ton émancipation.
Parfois, il faut savoir manager même quand on est dans le brouillard complet: l’avenir est toujours flou, mais on doit avancer.
Analyse 20/80 des erreurs de recrutement qui coûtent le plus :
1. Mélanger séduction et sélection
2. Recruter au feeling
3. S’arrêter au recrutement
👉 Conseils pratiques et méthode pour réussir ses embauches
Jeff Bezos est un patron haut en couleurs et le web regorge d’anecdotes sur son style de management.
comme Steve Jobs, Bill Gates ou Elon Musk, Jeff Bezos a un mode de management remarquable. Au sens premier du terme, un mode de management qui sort de l’ordinaire et que l’on remarque.
Ça signifie que les gens qui travaillent avec lui sont prévenus par la rumeur publique et s’attendent à ce qui va se passer.
Mais nous ne sommes pas Jeff Bezos.
Il est souvent plus efficace de préciser ce qu’on ne veut pas, ou ce qu’on ne fait pas, plutôt que de décrire avec beaucoup de détails ce qu’on a en tête
Management et contrôle: comment trouver le juste milieu entre le besoin de tout contrôler et le lâcher prise total ?
La gouvernance partagée: qu’est-ce que c’est, comment ça marche ? Alexandre Mengual partage avec nous son expérience.
Quand un manager s’en va, il n’est malheureusement pas rare de voir la performance de son service ou de son équipe s’effondrer après son départ.
Ça peut laisser penser que le dirigeant emblématique qui est parti devait être un excellent patron, puisqu’aucun de ses successeurs n’arrive à maintenir ses performances. Un patron exceptionnel ? Non, bien au contraire.
Comment en arrive-t-on à une situation où il est évident, rétrospectivement, que plein de gens, à commencer par moi, ont eu l’occasion de se rendre compte qu’on allait dans le mur, et que personne n’est intervenu ?
Je le répète souvent, le job d’un manager c’est de faire en sorte que l’entreprise puisse compter durablement sur les résultats de son équipe. Ce n’est donc pas de faire le bonheur de ses collaborateurs, ni de les fliquer.
Le job du manager c’est de construire une performance collective durable.
Organiser des réunions efficaces parait simple sur le papier, pourtant les règles de base ne sont jamais appliquées.
Définir la performance est essentiel, car c’est à partir de cela qu’on va pouvoir donner du feedback, et donc manager efficacement.
Comment apprend-on ? Qu’est ce qu’on apprend par l’expérience, ou en demandant aux autres comment faire ? Et d’ailleurs, comment on sait ce qu’on sait, et ce qu’il nous reste à apprendre ?
Exigeant mais pas autoritaire: ne pas confondre les deux pour mieux manager ses équipes, et avoir une autorité efficace.
Être responsable cela veut dire être attentif aux mots que l’on choisit, et particulièrement quand on est en situation d’autorité.
Bien manager notre équipe, c’est faire le pont entre les besoins de l’entreprise (c’est-à-dire les résultats à obtenir) et les conditions à créer pour que notre équipe soit en mesure de les obtenir.
En management, il est important de bien utiliser les outils mis à notre disposition, et de ne pas les confondre avec leur fonction.
«Franchement, en ce moment, tu ne crois pas qu’on a des trucs plus importants à faire ?»
Sous une forme ou une autre, j’ai entendu cette phrase au moins 3 fois au cours des deux dernières semaines.
Pourtant je crois que ça serait une erreur de tout sacrifier à la situation immédiate.
En temps de crise, la seule solution pour éviter l’impréparation de l’après-crise, c’est de garder sa stratégie d’entreprise, malgré l’urgence.